La différence Passé Composé / Imparfait
Le passé composé et l’imparfait sont deux temps du passé et peuvent se traduire de la même façon en anglais. Comment faire la différence ?
Exercices
Conjuguez les verbes à l'imparfait ou au passé composé.
EX :Quand la police (découvrir) a découvert le corps, la victime (ne pas porter) ne portait pas
de chaussures.
1. Bernadette (avoir) 40 ans quand elle (mourir) .
2. Elle (jouer) souvent au casino, alors elle (devenir) rapidement
très pauvre.
3. La famille (apprendre) la mort de Bernadette parce que tous les
journaux en (parler) .
4. Ses parents (ignorer) qu'elle (être) mariée.
5. La victime (adorer) la peinture italienne et (lire) beaucoup de
romans.
6. L'inspecteur (interroger) la famille de Bernadette parce qu'il (avoir
besoin de) connaître la personnalité de la victime.
7. Le frère et la soeur de Bernadette (revenir) en France car ils (vouloir)
soutenir moralement leurs parents.
8. Roger Duflair (inspecter) les objets du sac de la victime quand, tout à
coup, son regard (se fixer) sur la photo d'un homme.
9. Bernadette (écrire) une lettre à sa soeur Margot parce qu'elle lui
(faire) confiance.
10. La mère de Bernadette est certaine que quelqu'un (assassiner) sa fille et
qu'elle (ne pas se suicider) .
Le passé composé et l’imparfait. Mettez les verbes entre parenthèses au passé composé
ou à l’imparfait.
A. L’autre soir, je ____________________________ (vouloir) arriver à l’heure, mais quand je
_________________________ (s’apercevoir) que mon réservoir à essence
________________________ (être) presque à sec, il _________________ (falloir) que je
m’arrête à la station-service.
B. Roland __________________ (se lever) en vitesse. Il _________________ (faire) du café
et il en ___________________ (avaler) une tasse encore bouillante, puis il
______________________ (s’asseoir) : ´Zut! C’est samedi!ª. Il _____________________
(retourner) se coucher. Mais il lui _____________________ (être) impossible de se
rendormir.
Écrivez les verbes entre parenthèses au passé composé ou à l’imparfait :
1. Je (être) ............................................ très fatiguée, alors je (aller) ............................................ me coucher.
2. On (rouler) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . tranquillement. Tout à coup, une vo i t u re (sortir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
rapidement d’une petite route à droite et (heurter) ............................................ l’arrière de notre voiture.
3. Je (travailler) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a vec mon ordinateur. Je (utiliser) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . un logiciel
de dessin et soudain le programme (se bloquer) ............................................
4. Orianne (arriver) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . un peu après 8 h. On la (attendre) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . depuis
une heure.
5. Les élèves (faire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . des travaux de groupe et (parler) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . de manière
très animée quand le directeur de l’école (entrer) ............................................ dans la salle de classe.
6. Marie (discuter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a vec Gilles et, soudain, elle (s’ é vanouir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
et elle (s’effrondrer) ............................................ sur le sol.
Récrivez le texte en mettant les verbes au passé composé ou à l’imparfait :
C’est le 14 octobre. Emmanuel est très nerveux. Il doit rencontrer le directeur de la société Fourrier pour un emploi. Le travail que propose la société Fourrier est exactement le travail que cherche Emmanuel depuis six mois. Emmanuel prend le bus n° 21. La société Fourrier se trouve dans un quartier qu’ Emmanuel ne connait pas du tout. Après vingt minutes de voyage, Emmanuel se rend compte que le bus ne va pas dans la bonne direction. Emmanuel se renseigne auprès du conducteur. Non, ce n’est pas le bon bus. Emmanuel descend rapidement et court pour tro u ver la ligne de bus correcte. Il commence à pleuvoir. Emmanuel a de plus en plus peur d’arriver en retard. Anxieux, essoufflé et trempé, il arrive une demi-heure plus tard à la société Fourrier. Il se présente à la secrétaire. Elle vérifie sur l’agenda du directeur et elle regarde Emmanuel d’un air surpris : non, il n’a pas rendez-vous le 14 octobre, mais le 15 octobre.
Même exercice :
Yannick va en Afrique en 1987. Il veut vivre une grande aventure et traverser la jungle à pied. Il arrive à
Libreville le 23 novembre. Il fait beaucoup plus chaud qu’en France. Il demande à quelques guides de l’accompagner mais personne ne veut aller avec lui. Tr a verser la jungle est beaucoup trop dangereux. Alors Yannick part tout seul. Trois semaines plus tard, il arrive dans un petit village près de la rivière N’Golo. Les habitants du village lui disent de ne pas traverser la rivière parce qu’il y a beaucoup de crocodiles. Mais Yannick ne veut pas les écouter. Il commence à marcher dans l’eau. Il voit les crocodiles arriver mais il continue. Pendant qu’il traverse, les crocodiles l’attaquent. Le voyage de Yannick se termine dans la rivière N’Golo.
Écrivez les verbes entre parenthèses au passé composé ou à l’imparfait :
Quand je (être) ............................................ petite, je (penser) ............................................ que personne d’autre ne ( porter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . le même prénom que moi. Puis, un jour, je (avoir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .six ans, des amis de mes parents (venir) ............................................ à la maison avec leur enfant. Ma mère me (dire) ............................................ : « Elle s’appelle Charlotte, comme toi ! ». Moi, je (ne pas lui dire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . bonjour. Je (partir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . en pleurant. Je (être) ............................................ traumatisée : on avait volé mon prénom et mon identité !
Même exercice :
Ma mère venait diner à la maison ce soir-là. J’ai commencé à préparer une quiche. Je (faire ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . une pâte brisée et je la (mettre) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dans un moule. Puis, je (mélanger) ............................................ les oeufs avec la crème fraiche, le sel et la noix de muscade. Je (placer) ............................................ les lardons, les ognons et les champignons sur la pâte, dans le moule. Je (verser) ............................................ le mélange oeuf-crème dans le moule et je (mettre) ............................................ le tout dans le four. La quiche (aller) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . cuire pendant trente minutes. Je (avoir ) ............................................ le temps de faire la vaisselle, puis le téléphone (sonner) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ce (être ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . mon amie Anita qui me (téléphoner) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . d’Espagne. Elle (être ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . en vacances à Pampelune pour deux semaines. Je (être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . absolument ravi de pouvoir lui parler. Nous (discuter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . pendant un long moment. Anita me (raconter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . sa visite chez nos amis Ricardo et Elena quand je (sentir) ............................................ une forte odeur de quiche brulée. Je (se précipiter). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dans la cuisine,
mais ce (être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . t rop tard. Ma mère (aller) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . être obligée de manger une quiche industrielle au lieu de ma bonne quiche maison.
Point par Point, cahier intermédiaire les © Éditions Didier
Même exercice :
C’était la pre m i è re fois que je (aller) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . escalader une montagne de plus de 5 000 mètre s . Nous (avo i r ). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . de la chance : le temps (être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . très beau et il (ne pas devoir) ............................................ changer avant deux jours. Nous (partir) .......................................... à 5 h
le matin. Nous (être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . cinq, dont deux guides de haute montagne. Quand nous (arriver) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vers 4 500 mètres, l’un d’entrenous, Xavier, (glisser) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . sur
une plaque de glace et il (se faire) .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . mal à la cheville. Il (ne pas pouvoi r ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ., bien sûr, continuer l’escalade. (Falloir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . il arrêter notre expédition et redescendre immédiatement ? Nous (être) ............................................ si proche du sommet !
Nous (chercher) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . un endroit abrité et nous (monter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . une tente. Xavier (aller) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . nous attendre sous la tente. Il (être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . seulement 10 h et nous (avoir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . le temps de monter au sommet. Nous (grimper) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . j u s q u’au sommet puis nous (redescendre) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à 4 500 m. Mais quand nous (arriver) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à la tente, Xavier (ne pas être) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . l à .
Nous (avoir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . peur. Nous (l’appeler) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il (revenir )
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . cinq minutes plus tard, tranquillement. Nous (démonter) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . la tente puis nous (continuer) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . notre descente en aidant un peu Xavier dans les passages
difficiles.
Même exercice :
Le jour où j’ai rencontré Driss, il (faire) ............................................ très froid. Driss, que je (ne pas connaitre) ............................................ encore, (marcher) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . devant moi dans la rue. Il (être ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . tard, et, par ce froid, je (penser) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . s u rtout à re n t rer chez moi aussi vite que possible. Tout à coup, je (voir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . juste devant moi un jeune homme, Driss , faire un bond prodigieux en l’air. Ce jeune homme (venir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . de glisser sur une plaque de glace. Bien évidemment, il (ne pas rester) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . très longtemps suspendu dans l’air et il
(retomber) ............................................ brutalement sur le sol.
Malheureusement, c’est la tête qui (toucher) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . le sol en premie r. Le jeune homme (s’ évanouir) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je (appeler) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à l’aide. Je (rester) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
près du jeune homme et je (le couvrir) ............................................ de mon manteau. Je le (accompagner) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . jusqu’à l’hôpital, dans l’ambulance. Je (retourner) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
le voir, d’abord à l’hôpital, puis chez lui. Cela lui (plaire) ............................................ beaucoup d’avoir de la visite : il (être) ............................................ étudiant et ne (connaitre) ............................................ personne dans la région.
Point par Point, cahier intermédiaire les © Éditions Didier
Récrivez le texte en mettant les verbes au passé composé ou à l’imparfait :
RépondreSupprimerC’est le 14 octobre. Emmanuel est très nerveux. Il doit rencontrer le directeur de la société Fourrier pour un emploi. Le travail que propose la société Fourrier est exactement le travail que cherche Emmanuel depuis six mois. Emmanuel prend le bus n° 21. La société Fourrier se trouve dans un quartier qu’ Emmanuel ne connait pas du tout. Après vingt minutes de voyage, Emmanuel se rend compte que le bus ne va pas dans la bonne direction. Emmanuel se renseigne auprès du conducteur. Non, ce n’est pas le bon bus. Emmanuel descend rapidement et court pour tro u ver la ligne de bus correcte. Il commence à pleuvoir. Emmanuel a de plus en plus peur d’arriver en retard. Anxieux, essoufflé et trempé, il arrive une demi-heure plus tard à la société Fourrier. Il se présente à la secrétaire. Elle vérifie sur l’agenda du directeur et elle regarde Emmanuel d’un air surpris : non, il n’a pas rendez-vous le 14 octobre, mais le 15 octobre.
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SupprimerRécrivez le texte en mettant les verbes au passé composé ou à l’imparfait :
RépondreSupprimerYannick va en Afrique en 1987. Il veut vivre une grande aventure et traverser la jungle à pied. Il arrive à
Libreville le 23 novembre. Il fait beaucoup plus chaud qu’en France. Il demande à quelques guides de l’accompagner mais personne ne veut aller avec lui. Tr a verser la jungle est beaucoup trop dangereux. Alors Yannick part tout seul. Trois semaines plus tard, il arrive dans un petit village près de la rivière N’Golo. Les habitants du village lui disent de ne pas traverser la rivière parce qu’il y a beaucoup de crocodiles. Mais Yannick ne veut pas les écouter. Il commence à marcher dans l’eau. Il voit les crocodiles arriver mais il continue. Pendant qu’il traverse, les crocodiles l’attaquent. Le voyage de Yannick se termine dans la rivière N’Golo.